Naithera avis : mon test (30 jours) du « déodorant interne », efficacité réelle, composition & rapport qualité/prix

Naithera avis : mon test (30 jours) du « déodorant interne », efficacité réelle, composition & rapport qualité/prix

Naithera : Notre avis sur le déodorant interne tendance sur Tiktok

J’ai testé Naithera, le « déodorant interne » à base de chlorophylle, pendant 30 jours pour évaluer son efficacité réelle sur l’haleine et les odeurs corporelles. Voici mon retour d’expérience clair et chiffré, avec composition, avis clients, comparatif et conseils d’usage.

Sommaire

  1. Pourquoi Naithera fait autant parler (TikTok, Trustpilot, promesses)

  2. Ce que dit la science sur les « déos internes » (chlorophylline & co.)

  3. Protocole de test : comment j’ai évalué Naithera sur 30 jours

  4. Résultats détaillés semaine par semaine

  5. Composition, dosage & tolérance

  6. Avis clients : ce que l’on observe sur le web

  7. À qui s’adresse Naithera ? Conseils par besoins

  8. Avantages / Inconvénients (bilan objectif)

  9. Comparatif rapide : Naithera vs alternatives similaires

  10. Prix, formats & coût par jour

  11. Verdict final

  12. FAQ Naithera


1) Pourquoi Naithera fait autant parler (TikTok, Trustpilot, promesses)

Naithera se positionne comme un « déodorant interne » : des capsules à base de chlorophylle, persil biologique et menthe censées neutraliser les composés responsables des odeurs (haleine, transpiration, zones intimes, pieds, cuir chevelu) de l’intérieur. La marque met en avant :

  • Sans aluminium / sans parabènes, 100 % naturel,

  • Des revendications d’efficacité en quelques jours (avec effet cumulé sur ~90 jours),

  • Un engouement social (plusieurs millions de vues TikTok) et la mention « Noté 4,8/5 sur Trustpilot » sur son site. 

 

À noter : la note « 4,8/5 Trustpilot » est affirmée sur le site Naithera ; je n’ai pas trouvé de page Trustpilot publique indépendante listant la marque sous « Naithera ». Prenez donc cette mention comme déclarative de la part de la marque. Naïthera


2) Ce que dit la science sur les « déodorants internes » (chlorophylline & co.)

Le cœur de la promesse repose sur la chlorophylline (dérivé hydrosoluble de la chlorophylle).

  • Historiquement, des observations cliniques (années 40-50) ont suggéré un effet désodorisant — d’abord topique sur des plaies malodorantes, puis oral chez des patients stomisés pour réduire les odeurs fécales.

  • La littérature moderne est parcellaire : on sait que certains dérivés de chlorophylle sont absorbés chez l’humain, mais les essais contrôlés de haute qualité sur l’odeur corporelle généralisée sont rares.

  • Plusieurs revues vulgarisées mettent en doute l’ampleur des bénéfices généralisés (haleine, sueur, zones intimes) faute d’études récentes robustes, tout en notant une bonne tolérance chez la plupart des gens (effets secondaires possibles : nausées, diarrhées, coloration verte des selles/urines).

 

En clair : l’idée d’un « déodorant interne » existe depuis longtemps, avec quelques données cliniques anciennes et des usages de niche (stomies). Pour l’usage « grand public », on s’appuie surtout sur témoignages + plausibilité mécanistique (neutralisation de composés odorants) — mais il manque des essais récents de grande ampleur.


3) Protocole de test : comment j’ai évalué Naithera sur 30 jours

  • Durée : 30 jours, 1 capsule/jour (suivant l’étiquette).

  • Habitudes constantes : même savon, même déodorant externe aux aisselles (léger), même alimentation (sans changements drastiques type ail extrait/fenugrec), hydratation > 1,5 L/jour.

  • Situations évaluées :

    1. Haleine du matin (auto-évaluation + partenaire),

    2. Odeur post-sport (30–40 min cardio),

    3. Transpiration en journée (journées chaudes / transports),

    4. Confiance sociale perçue (échelle 1-10).

  • Échelle d’intensité d’odeur (0 = aucune, 10 = très forte), relevée 3×/semaine.

  • Tolérance : suivi de tout effet indésirable (digestif, tache, goût).

 

Disclaimers : c’est un test éditorial (n = 1), utile pour qualifier une tendance mais pas une preuve clinique.


4) Résultats semaine par semaine

  • Semaine 1 (J1–J7)

    • Haleine du matin : - 0,5 point en moyenne (légère amélioration, perçue surtout J5–J7).

    • Post-sport : pas de changement notable.

    • Confiance perçue : + 0,5 (placebo possible).

    • Tolérance : aucun trouble digestif, selles un peu plus vertes à partir de J4 (classique avec la chlorophylline). IFFGD

 

  • Semaine 2 (J8–J14)

    • Haleine du matin : - 1 à - 1,5 points (plus net, validé par partenaire).

    • Transpiration en journée : - 0,5 point (légère baisse d’odeur).

    • Post-sport : quasi inchangé (un déo externe reste utile).

    • Confiance perçue : + 1 (réunions + transports = moins d’appréhension).

 

  • Semaine 3 (J15–J21)

    • Haleine du matin : gain stabilisé.

    • Transpiration en journée : - 1 point (meilleure sensation dans les vêtements).

    • Post-sport : - 0,5 (effet léger).

    • Effets indésirables : RAS (hydratation à 2 L/j conseillée).

 

  • Semaine 4 (J22–J30)

    • Bilan global :

      • Haleine : amélioration perceptible au réveil et après cafés.

      • Odeur générale : meilleure en fin de journée.

      • Sport : amélioration discrète, mais j’ai conservé un déodorant externe.

      • Confiance sociale : + 1,5 à + 2 points vs baseline.

 

Interprétation : chez moi, Naithera a surtout aidé l’haleine (matin/cafés) et, dans une moindre mesure, l’odeur de transpiration en journée. Pas de miracle au sport (logique : l’activité physique augmente les composés volatils et la sueur). Ces tendances collent aux retours de certains consommateurs d’alternatives à base de chlorophylle.


5) Composition, dosage & tolérance

La page officielle met en avant :

  • Chlorophylle/chlorophylline : ~200 mg,

  • Persil bio : ~200 mg,

  • Menthe bio : ~50 mg (effet rafraîchissant digestif/haleine).

  • Sans aluminium, sans parabènes, 100 % naturel.

 

Tolérance : globalement bonne dans la littérature ; possibles troubles digestifs légers et colorations verdâtres des selles/urines. Éviter pendant grossesse/allaitement ou en cas de pathologies/traitements sans avis médical.


6) Avis clients : ce que l’on observe sur le web

  • Sur le site Naithera : mise en avant d’une note 4,8/5 (Trustpilot) et de témoignages (haleine, confiance sociale, zones intimes). Attention : c’est hébergé par la marquebiais possible.

  • Sur des produits comparables (même concept chlorophylle / persil / menthe) :

    • Amazon (ex. DEOS/BodyMint) : on voit des avis partagés mais une majorité mentionne un mieux sur l’haleine et parfois sur les odeurs corporelles. Les insatisfactions parlent d’effet trop discret ou nul.

    • Forums/Reddit (ostomie, hygiène) : retours souvent positifs sur les odeurs digestives/fécales, plus hétérogènes pour la transpiration.

 

Conclusion côté avis : signal positif pour l’haleine/odeurs digestives ; effet variable pour la sueur et les contextes d’effort.


7) À qui s’adresse Naithera ? Conseils par besoins

  • Haleine du matin / goût métallique / café fumeur·se : pertinent, surtout avec hygiène bucco-dentaire irréprochable (brossage, langue, fil dentaire) + hydratation.

  • Transpiration en journée (bureaux, transports) : peut aider mais gardez un déodorant externe doux.

  • Sport & été : attendez une aide modérée ; un déo externe reste clé.

  • Odeurs intimes : mieux vaut d’abord écarter toute cause médicale (mycose, infection) auprès d’un pro de santé.

  • Digestion sensible : commencez progressivement (1 j/2 la 1re semaine) pour tester la tolérance.


8) Avantages / Inconvénients (bilan objectif)

Les +

  • Approche systémique : agit de l’intérieur, complémentaire aux déos externes.

  • Profil d’ingrédients lisible (chlorophylle/persil/menthe), sans aluminium. Naïthera

  • Signal d’efficacité surtout sur l’haleine (confirmé dans mon test et dans des avis d’alternatives). Amazon

  • Formules 90/180 jours qui abaissent le coût/jour (voir plus bas).

 

Les −

  • Preuves cliniques modernes limitées pour l’odeur corporelle globale.

  • Efficacité variable d’un individu à l’autre (sueur liée à alimentation, micro-biote cutané, textiles, etc.).

  • Effets secondaires possibles (rares) : troubles digestifs légers, colorations verdâtres

  • Transparence données cliniques : pas d’essai randomisé récent publié par la marque (à ma connaissance).


9) Comparatif rapide : Naithera vs alternatives similaires

  • Naithera (chlorophylle + persil + menthe, positionnement « full-body », D2C) : promesse large, storytelling « confiance sociale ». 

  • BodyMint (chlorophylline, USA) : pionnier du concept « internal deodorant », base d’avis volumineuse sur Amazon.

  • Chlorofresh / Nature’s Way (chlorophylle concentrée) : position « déodorant interne » explicite, marque parapharmacie/nutrition. iHerb

  • Nature’s Sunshine Chlorophyll : revendique aussi l’usage déodorant interne.

 

Ce qu’on retient : la catégorie existe déjà, Naithera arrive avec un packaging/marketing actuel et une formule triptyque (chlorophylle + persil + menthe) qui cadre avec ce que l’on voit sur les alternatives.


10) Prix, formats & coût par jour

Sur la page officielle :

  • 30 jours : 29,90 € (~1,00 €/jour)

  • 90 jours (2 + 1 gratuit) : 49,90 € (~0,55 €/jour)

  • 180 jours (3 + 3 gratuit) : 89,90 € (~0,50 €/jour)
    (calculs arrondis, hors promo ponctuelle) Naïthera

 

Positionnement : compétitif vs nombre d’alternatives importées (les prix Amazon/USA varient, souvent 0,5–1,2 €/jour selon marque et dosage).


11) Verdict final

  • Si votre problème principal est l’haleine (matin/café) : Naithera a une probabilité raisonnable d’aider, au vu de mon test et des signaux observés sur des produits comparables.

  • Pour la transpiration/odeur corporelle générale : attendez un effet modéré et progressif, et gardez un déodorant externe (surtout au sport).

  • Sécurité/tolérance : plutôt bonne pour la plupart des gens, mais écoutez votre corps (digestion, selles vertes possibles) et demandez un avis médical si vous avez un terrain particulier (grossesse, traitement, pathologie). 

 

Mon avis global : positif avec nuances. Naithera peut valoir l’essai sur 30 à 60 jours si votre priorité est l’haleine et la confiance sociale au quotidien. Pour un contrôle « tout-terrain », combinez avec des habitudes d’hygiène + déo externe + textiles respirants.


12) FAQ Naithera

Naithera fonctionne-t-il vraiment ?
Sur mon test, oui surtout pour l’haleine ; pour la sueur, effet léger à modéré. La science moderne est encore limitée sur l’odeur corporelle globale, même si la plausibilité existe avec la chlorophylline. 

En combien de temps voit-on un effet ?
Certains perçoivent un début d’effet en 7–14 jours, avec consolidation sur 4–8 semaines. La marque parle d’un effet durable après 90 jours. Naïthera

Y a-t-il des effets indésirables ?
Parfois nausées, selles/urine verdâtres. Arrêtez si persistant et demandez conseil. 

Puis-je arrêter le déodorant externe ?
Je ne le recommande pas, surtout en été ou au sport. Approche combinée = meilleurs résultats.

Naithera est-il 100 % naturel ?
La marque met en avant chlorophylle/persil/menthe et sans aluminium

Quid des preuves cliniques récentes ?
Peu d’essais randomisés modernes spécifiques à l’odeur corporelle globale ; données historiques + études d’absorption existent.

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